avion

Bienvenue

Toulouse, 18 et 19 novembre 2017

 « Ô mon païs, ô Toulouse… » C’est avec l’air de Nougaro en tête que j’ai roulé vers notre capitale. Nous pensions trouver une ambiance automnale, en fait nous avons eu pendant deux jours des températures que les montpelliérains considèrent comme sibériennes. Ne nous plaignons pas, les toulousains rencontrés nous ont maintes fois fait remarquer que nous avions de la chance de passer deux jours en novembre sans une seule goutte de pluie, rien de plus normal à Toulouse que d’avoir les joues rosies.

Notre jeune guide Sarah Chandioux nous a emmenés, à un bon rythme mais toujours avec le sourire, dans des lieux connus ou insolites pour nous conter l’histoire des pasteliers et des capitouls à l’origine des beaux hôtels particuliers où le temps semble s’être arrêté.

Elle nous a éclairés sur les subtilités de ces constructions en briques rouges qui ont fait un temps honte aux toulousains complexés de ne pas avoir de pierres claires et qui ont inventé moult ruses plus ou moins heureuses pour ressembler à Montpellier (ou Paris). Ils se rendent compte aujourd’hui de leur erreur, c’est bien dans des couloirs ocre que nous avons tourné autour du Capitole.

O con, les podomètres ont indiqué… 10 kilomètres pour samedi et 8 pour dimanche ! J’espère que vos chevilles et genoux se sont bien remis de ces balades autour, à côté et dans les chefs d’œuvres toulousains. Personnellement, le choc de ce week-end restera la découverte de Chiragan, villa romaine d’une importance considérable et aux nombreux mystères.

 Entre deux visites, nous avons pu sentir l’ambiance du centre-ville toulousain, marée haute le samedi, marée basse le dimanche.

Revivez ces visites grâce à mes photos, ainsi que celles d’Eliane et de Michel M (reportage très complet sur Facebook).

J’ai un peu de mal à me débarrasser de l’air de Nougaro, je termine donc par ces deux vers que je trouve géniaux.

                     « Ici, si tu cognes, tu gagnes
                       Ici, même les mémés aiment la castagne »

                                                                                 A lèu,  Thierry

PS1 : Attention, je reçois via ce site des mails russes plus que douteux…

PS2 : Lors de vos insomnies, essayez de trouver l’anagramme de la phrase ci-dessous que j’ai proposée à ceux qui ont veillé samedi soir (il n’y a rien à gagner).

                                         Bon, tu réveilles Nino !